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  • : Bienvenue sur les archives des Radicaux de Gauche en Finistère.
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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 07:46

Le président du Parti Radical de Gauche

présente sa candidature aux primaires socialistes

pour l'élection présidentielle de 2012

 

voir ici  : http://www.planeteradicale.org/JM-Baylet-annonce-sa-candidature.html

 

le sénateur PRG Yvon Collin a déclaré sur Public Sénat : «Mon parti vient de prendre la décision de participer à cette primaire et de présenter Jean-Michel Baylet» ; il a également précisé que : «Le PS ne souhaitait pas que ce soit une primaire socialo-socialiste, Martine Aubry a beaucoup insisté pour que les radicaux soient partie prenante de cette primaire».

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 07:06

Le Parti Radical de Gauche a acté mardi le "principe d’un accord national avec le PS en vue des élections sénatoriales et de la participation de ce parti" à la primaire pour la présidentielle.

 

Dans un communiqué le Bureau national du PS, qui s'est réuni mardi, déclare : "Cet accord, en vue du rassemblement le plus large et le plus efficace de la gauche dans la perspective de l'élection présidentielle, engagera nos deux formations dans l’ensemble des départements dont les sénateurs sont renouvelables en septembre 2011".

 

PRG et PS "présenteront des listes communes aux sénatoriales 2011 dans l’ensemble des départements", selon le communiqué qui assure que sept places pour des candidats PRG seront réservées dans l'Isère, le Pas-de-Calais, Paris, le Nord, la Loire, la Seine-Saint-Denis et les Hauts-de-Seine.

 

Le PS relève que "le PRG a, dans les Hautes-Pyrénées et le Lot, deux sénateurs sortants". Le PS s’engage à soutenir, dès le premier tour, les candidats désignés par le PRG dans ces deux départements. "Dans les Hautes-Pyrénées, la présentation des deux candidats se fera sur une liste unique".

PRG29

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5 juillet 2011 2 05 /07 /juillet /2011 12:50

Qu’entendons-nous ?

 

Le capitalisme nettoyé, corrigé, réhabilité succédera, promettent les libéraux, au capitalisme ! Autrement dit, la crise est finie, ou presque. Et, moyennant quelques injections d’argent (public) aux points névralgiques (privés et financiers), tout va bien sûr recommencer. Septembre 2008 n’aura été qu’un mauvais accident.

 

Le marxisme est de retour ; les trompettes ont sonné autour d’un capitalisme fatigué, déjà à terre. « Marx a eu raison ! » proclame-t-on à gauche de la gauche. Vient le moment où le capitalisme est dévoré par lui-même ; il succombe à ses propres excès plus qu’aux coups donnés par ses adversaires. La logique matérialiste doit être remise en lumière. Une nouvelle approche des thèses initiales devient possible.

 

L’écologisme, après un demi-siècle de batailles éparses mais répétitives, finit par se faire une place dans l’espace politique. La peur du lendemain environnemental, énergétique, climatique, est bonne conseillère. Le capitalisme et le marxisme ayant démontré leurs limites, étalés leurs échecs. Le sort de la planète est en question. L’écologisme serait « la » réponse !

 

Personne ne peut nier la pertinence de ces raisonnements, ni les balayer d’un revers de la main ; même si les uns et les autres ont le triste parfum du « c’était mieux avant » ou « ce serait tellement mieux si… »

 

 

Que constatons-nous ?

 

Qui peut prétendre que le capitalisme n’a pas de capacité de rebondissement alors qu’il l’a prouvé à d’autres périodes ? Ses défenseurs détiennent de nombreux leviers pour s’y atteler ! Il sont déjà commencé. Avec les banques et les institutions financières béquillées par des plans de relance, des groupes d’entreprises pratiquant la grande lessive, en particulier sociale, une presse fermement tenue en main, des mesures d’assainissement partielles pour éloigner des moutons trop noirs et réguler en conséquence.

 

Le capitalisme tente de s’adapter à une mondialisation corrigée a minima mais toujours marchandisée et financiarisée. Nous serions naïfs de ne pas le comprendre. Pour autant, la crise du capitalisme n’est pas circonscrite à la catastrophe financière de l’automne 2008. Enron, Parmalat furent les premiers symptômes du dérapage de ce système.

 

Depuis plus longtemps encore, les dégâts du « progrès » d’une mondialisation libérale et capitaliste s’accumulaient dangereusement et durablement : crise de la faim dans le monde, de l’énergie et des matières premières, du climat, et plus généralement de l’environnement… La chute du mur de Berlin a surtout entamé l’édifice capitaliste. Qui pourrait alors s’étonner de la résurgence d’un marxisme jusque là pollué par un enlisement douloureux à l’est de l’Europe ? Car, débarrassé de ses scories, « l’outil » marxiste, apparaît lui aussi rénové. Il promet de pointer les défauts majeurs du capitalisme et surtout de relancer une réflexion politique sur les voies collectives d’une croissance matérielle à mieux partager. Mais il reste difficile d’imaginer les traductions modernes du marxisme, sans penser au risque d’un retour progressif au « tout Etat » avec les rigidités bien connues qui vont avec. Alors l’écologie apparaît comme une troisième voie, un centrisme planétaire, assurant le respect des équilibres naturels au profit de toutes et tous.

 

Comment rejeter l’idée qu’il serait temps de redevenir les « amis de la Terre » ? La brutalité des dangers qui menacent l’air, la mer, la terre, la flore et la faune… est trop évidente pour ne pas voir dans l’écologie une façon de concilier création de richesses et respect des environnements. Mais il faut aussi observer les fortes divergences existant entre les partisans de la décroissance et ceux d’une autre croissance ; et noter combien la saine obsession de remettre en ordre l’environnement place trop souvent la justice sociale à la remorque.

 

Que répondons-nous ?

 

Il faut sortir du triangle étouffant « capitalisme-marxisme-écologisme ». Il n’est plus acceptable de laisser un thème ou un objectif dominer les autres. C’est ce que font les Radicaux en présentant leur propre programme « Faire Face » plaidant pour une croissance plurielle, sociale, civique, environnementale autant qu’économique. Ce programme, issu des contributions des Fédérations du PRG et des débats de La Rochelle, n’est qu’une étape. Il est soumis dès maintenant, aux réactions, avis, autres propositions des forces citoyennes qui voudront bien s’en emparer.

 

Ainsi, pour sortir du triangle Capitalisme, Marxisme, Ecologisme, se forgera une voie appelée… radicalisme.

 

 

Thierry Jeantet

PRG

Vice-président chargé de l’Atelier et du Programme

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 08:51

Les radicaux de gauche, critiquent, réfléchissent, débattent. Il construisent une pensée républicaine au service de l'intérêt général, au service des citoyennes et des citoyens. Si ils paraissent si attachés à la Laïcité au sein de la République c'est qu'ils savent bien, l'histoire leur a enseigné, que c'est le moyen le plus sûr de garantir les libertés individuelles et défendre les valeurs de notre pays ; Liberté , Egalité, Fraternité. Un triptyque, qu'il faut sans cesse défendre, surtout depuis ces dernières années...

Nous commençons aujourd'hui la publication du support programmatique du parti Radical de Gauche intitulé : Mondialisation , crises, mutations ; Faire Face ! Remises en chantier  ces réflexions vont nourrir les débats au sein du PRG, de ces instances nationales, régionales, locales.

 

 

Une  alternative à gauche

 

Crises financière, économique, énergétique et alimentaire mondiales, remise en cause du « modèle français », démantèlement des services publics, creusement des inégalités, Europe en panne, menaces sur l’environnement, bouleversements liés à la mondialisation... Les défis ne manquent pas pour qui désire s’impliquer dans l’action publique.

 

Deux décennies après la chute du Mur de Berlin et la prétendue « fin de l’Histoire », l’heure est enfin à la critique du mythe d’une économie ultra-libérale autorégulée, modèle économique menaçant jusqu’à la pérennité de notre planète.

 

Las, au-delà des déclarations d’intentions et des « réformes d’affichage », on constate que le renversement de paradigme n’a pas eu lieu, faute d’une réelle gouvernance économique mondiale.

 

La crise, si elle a ébranlé l’édifice capitaliste, nous a confortés dans notre conception d’une économie libérale mais fermement régulée. Pour les radicaux, l’économie doit être au service de l’Homme. Ni « tout Etat », ni « tout marché », nous devons rechercher une synthèse entre l’individu et le collectif.

 

A une époque où d’aucuns privilégient les questions de personnes, le PRG a souhaité réinvestir le champ des idées. Face aux bouleversements actuels, il ne s’agissait pas de recourir à de vieux remèdes éculés et devenus inefficaces, mais d’inventer de nouvelles solidarités, de nouvelles régulations. En d’autres termes, sortir des sentiers battus, innover.

 

Je me souviens d’un ancien slogan de l’époque où le MRG était présidé par Robert Fabre : « Audace et bon sens », voila deux maîtres mots qui ont présidé à l’élaboration de ce projet.

 

Les radicaux de gauche ont donc décidé de mettre à jour leur réflexion politique. Afin de mieux comprendre les contours de ce programme, il est utile de revenir sur sa genèse. Ce projet, nous l’avons envisagé comme un ouvrage collectif, c’est une habitude chez les radicaux. Il est le fruit d’un double mouvement, initié à la fois par l’Atelier et les fédérations.

 

Il faut, tout d’abord saluer le travail d’animation, de collecte et de synthèse de Thierry Jeantet, Vice-président en charge de l’Atelier, épaulé par Claudette Brunet-Lechenault pour le volet européen.

 

Ce projet fut également élaboré grâce à l’implication des forces vives d’un parti qui n’en manque pas. Plus de quatre-vingt contributions sont parvenues des fédérations radicales, souvent le fruit d’un véritable travail de réflexion, menée au niveau local et départemental qui alimentent notre corpus de l’expérience de militants et d’élus de terrain. Ce projet fut ensuite débattu et amendé, lors de la Convention Nationale de La Rochelle, en mars 2009, dans des ateliers présidés par Claudette Brunet-Lechenault et François-Xavier Perrault, Sylvia Pinel et Roger-Gérard Schwartzenberg, Thierry Jeantet et Jeanine Dubié, que je veux remercier pour leur collaboration, ainsi que les membres des JRG, associés à ces ateliers.

 

Les sources de ce document sont donc nombreuses et d’origines variées. Ce programme est, au final, imposant car il ambitionne d’embrasser tous les thèmes, toutes les questions posées par notre époque. Il n’est cependant pas un dogme et ne doit pas être perçu comme un catalogue exhaustif, mais plutôt comme une boîte à outils conceptuelle pour appréhender le monde. Venez y piocher des idées, des argumentaires, des propositions, des positionnements, utilisez-le, emparez-vous de son contenu. A vous de le faire vivre.

 

Humaniste, solidaire, laïque, garante des libertés, juste, voila la République telle que nous ambitionnons de la construire. C’est au confluent de ses valeurs que naît le radicalisme.

 

Ce document montre qu’il existe une gauche attachée aux libertés mais aussi à la solidarité, une gauche qui encourage l’économie et l’entreprise si ces dernières sont clairement régulées, en d’autres termes une gauche de l’individu responsable et solidaire. Une gauche réformatrice, pragmatique et ambitieuse. Une gauche qui aspire à républicaniser la France, l’Europe et les institutions internationales.

 

 

Forts de ce programme, modernisons la gauche, proposons une alternative pour préparer l’alternance.

 

 

Jean-Michel Baylet

 

Président du PRG

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 08:06

Information :

 

Rendez-vous traditionnel, l’université d’été marque la rentrée politique des radicaux.

Comme en 2010, nous nous retrouverons donc à Seignosse dans les Landes, les 2, 3 et 4 septembre 2011.

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 12:28

1869

Programme de Belleville de Gambetta écrit à l’occasion d’élections et à la demande  de comités radicaux sous le IIème Empire. Ces comités radicaux étaient des rassemblements de personnes issues de loges maçonniques, de la Ligue des Droits de l’Homme, de la Ligue française de l’enseignement. Les partis politiques n’existaient pas encore.

 

Ce programme inscrit les bases de l’idéologie radicale, poursuivie et mise en place par IIIème République Française :

-       démocratie avec le Suffrage Universel

-       affirmation des Libertés

-       séparation Eglise-Etat

-       instruction primaire, laïque et obligatoire

-       devise républicaine : Liberté-Egalité-Fraternité.

 

1870 Avec la chute du Ier  Empire et la naissance de la IIIème République, les héritiers de la Révolution Française réussissent à installer définitivement le régime républicain affirmant la démocratie et les libertés individuelles.

 

Ainsi, au lendemain de la loi d’association de Waldeck-Rousseau, le Parti Républicain radical et radical socialiste est crée : c’est le premier parti politique français en 1901. Le mot socialiste dans le nom du parti signifie son opposition au monopole capitaliste et le situe donc à gauche . En 1907, le Programme de Nancy précise l’attachement des radicaux à la propriété privée.

 

A partir de 1902 et jusqu’en 1914, les Radicaux sont au pouvoir, Clemenceau y joue un rôle important . C’est pendant cette période que la IIIème République s’enracine, c’est à dire qu’elle fortifie ses bases grâce à l’école qui véhicule les valeurs et symboles de la République, et grâce à la notion de laïcité avec la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905.

 

Aussi quelques lois sociales sont à retenir comme la baisse du temps de travail à la mine, le système de retraite ouvrière, l’impôt progressif sur le revenu.

 

C’est la  période de la Belle Epoque qui connaît cependant quelques agitations et contestations politiques avec la montée de l’extrême droite et l’anarchisme. Sur le plan international, les tensions s’aggravent et dégénèrent en conflit mondial. La IIIème République tient le coup grâce à l’Union Sacrée qui rassemble les Radicaux, les Socialistes, les partis de droite et syndicats.

 

Ainsi la IIIème République réussit à se maintenir 70 ans : c’est la plus longue des républiques françaises.

 

1918-1940 : poids considérable des Radicaux pendant l’entre-deux-guerre dans la vie politique. Les Radicaux dirigent les gouvernements du Cartel de Gauche comme Herriot ; ils participent à l’élaboration et au déroulement du Front Populaire.

 

1945 à 1958 : sous la IVème République le Parti renaît et participe à tous les gouvernements. Ainsi Edgar Faure est Président du Conseil  en 1952  et en 1955,  Pierre-Mendès-France de 1954 à 1956.

 

Sous la Vème République, on constate un affaiblissement constant du Parti qui finit par se diviser en 1972 entre le Parti Radical composante de l’UDF et le MRG (Mouvement radical de gauche) présidé par Robert Fabre. L’objectif du MRG est de se présenter uni avec les Partis de gauche, aux différentes élections . Il signe donc le Programme Commun de gouvernement avec le Parti Socialiste et le Parti Communiste .

 

Aujourd’hui, ce parti appelé Parti Radical de Gauche depuis 1998, maintient donc sa ligne politique à gauche tout en se démarquant du Parti Socialiste. Ses objectifs politiques sont de réaliser :

-       une économie sociale c’est à dire démocratique, solidaire et équitable 

-       une justice sociale

-       une vigilance pour le principe de laïcité

-       une Europe sociale

-       une VIème République avec la suppression du poste de Premier Ministre et plus de pouvoir donné au Parlement.

 

Les 8 députés et de 11 sénateurs actuellement élus, oeuvrent pour ces objectifs (les photos de ces députés et sénateurs sont sur Planète Radicale).

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23 mai 2011 1 23 /05 /mai /2011 12:16

Naissance et évolution

du premier parti politique français

 

Celui des Radicaux de Gauche PRG

 

 

1869 : Programme de Belleville de Gambetta écrit à l’occasion d’élections et à la demande  de comités radicaux sous le IIème Empire. Ces comités radicaux étaient des rassemblements de personnes issues de loges maçonniques, de la Ligue des Droits de l’Homme, de la Ligue française de l’enseignement. Les partis politiques n’existaient pas encore.

Ce programme inscrit les bases de l’idéologie radicale, poursuivie et mise en place par IIIème République Française :

-       démocratie avec le Suffrage Universel

-       affirmation des Libertés

-       séparation Eglise-Etat

-       instruction primaire, laïque et obligatoire

-       devise républicaine : Liberté-Egalité-Fraternité.

 

1870 : avec la chute du Ier  Empire et la naissance de la IIIème République, les héritiers de la Révolution Française réussissent à installer définitivement le régime républicain affirmant la démocratie et les libertés individuelles.

Ainsi, au lendemain de la loi d’association de Waldeck-Rousseau, le Parti Républicain radical et radical socialiste est crée : c’est le premier parti politique français en 1901. Le mot socialiste dans le nom du parti signifie son opposition au monopole capitaliste et le situe donc à gauche . En 1907, le Programme de Nancy précise l’attachement des radicaux à la propriété privée.

 

A partir de 1902 et jusqu’en 1914, les Radicaux sont au pouvoir, Clemenceau y joue un rôle important . C’est pendant cette période que la IIIème République s’enracine, c’est à dire qu’elle fortifie ses bases grâce à l’école qui véhicule les valeurs et symboles de la République, et grâce à la notion de laïcité avec la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat de 1905.

Aussi quelques lois sociales sont à retenir comme la baisse du temps de travail à la mine, le système de retraite ouvrière, l’impôt progressif sur le revenu.

C’est la  période de la Belle Epoque qui connaît cependant quelques agitations et contestations politiques avec la montée de l’extrême droite et l’anarchisme. Sur le plan international, les tensions s’aggravent et dégénèrent en conflit mondial. La IIIème République tient le coup grâce à l’Union Sacrée qui rassemble les Radicaux, les Socialistes, les partis de droite et syndicats.

Ainsi la IIIème République réussit à se maintenir 70 ans : c’est la plus longue des républiques françaises.

 

1918-1940 : poids considérable des Radicaux pendant l’entre-deux-guerre dans la vie politique. Les Radicaux dirigent les gouvernements du Cartel de Gauche comme Herriot ; ils participent à l’élaboration et au déroulement du Front Populaire.

 

 1945 à 1958 : sous la IVème République le Parti renaît et participe à tous les gouvernements. Ainsi Edgar Faure est Président du Conseil  en 1952  et en 1955,  Pierre-Mendès-France de 1954 à 1956. 

 

Sous la Vème République, on constate un affaiblissement constant du Parti qui finit par se diviser en 1972 entre le Parti Radical composante de l’UDF et le MRG (Mouvement radical de gauche) présidé par Robert Fabre. L’objectif du MRG est de se présenter uni avec les Partis de gauche, aux différentes élections . Il signe donc le Programme Commun de gouvernement avec le Parti Socialiste et le Parti Communiste .

 

Aujourd’hui, ce parti appelé Parti Radical de Gauche depuis 1998, maintient donc sa ligne politique à gauche tout en se démarquant du Parti Socialiste. Ses objectifs politiques sont de réaliser :

-       une économie sociale c’est à dire démocratique, solidaire et équitable 

-       une justice sociale

-       une vigilance pour le principe de laïcité

-       une Europe sociale

-       une VIème République avec la suppression du poste de Premier Ministre et plus de pouvoir donné au Parlement.

 

Le PRG, lors des dernières élections a constitué un groupe de député à L'Assemblée Nationale ainsi qu'au Sénat. 

 

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