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20 octobre 2017 5 20 /10 /octobre /2017 16:28
Article paru dans CFDT Magazine de septembre-octobre 2017
Article paru dans CFDT Magazine de septembre-octobre 2017

Article paru dans CFDT Magazine de septembre-octobre 2017

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1 août 2017 2 01 /08 /août /2017 16:17
Jeu paru dans Ouest-France du 26 juillet 2017

Jeu paru dans Ouest-France du 26 juillet 2017

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16 juin 2017 5 16 /06 /juin /2017 13:43
Articles parus dans Ouest-France des 25 janvier et 20 mai 2017
Articles parus dans Ouest-France des 25 janvier et 20 mai 2017

Articles parus dans Ouest-France des 25 janvier et 20 mai 2017

Algoculture... ou pas

 

Les avis sont partagés...

 

Doit-on en arriver au même triste bilan que l'aquaculture et ses poissons dopées aux protéines d'origine douteuse et à ses écosystèmes locaux ravagés!

 

La pratique de l'algoculture doit être calqué sur l'agriculture bio, voir même plus exigeante (quant on sait que le label "bio" est si souvent abusé). La ressource qu'est l'eau de mer s'avère tout aussi fragile que l'eau douce, voir même plus, dans la mesure où tout un écosystème en dépend dont les maillons sont indispensables pour la chaîne alimentaire. Alors la vigilance au plus haut niveau d'objectivité s'impose mais l'opposition systématique au profit d'une minorité est à rejeter. La notion de justice nécessite qu'il ne faut pas privilégier un groupe au détriment de la collectivité. L'homme a besoin des algues pour la santé, pour la parapharmacie, pour l'alimentation, pour les cosmétiques, pour les matières plastiques biodégradables... Par conséquent tout est encore à faire afin de remplacer et de ne pas épuiser la ressource naturelle.

 

Il est souvent question de transition énergétique où les pratiques du passé doivent être substituées par de nouvelles logiques. Et bien là il en de même. Ce qui fait figure de mauvais élève doit servir d'exemple à une transition maritime s'imposant comme limite une exploitation "propre" des océans et des mers. Certes comme toute limite est mathématiquement impossible à atteindre ce n'en est que mieux car les exigences s'en voient accrues.

 

Il est aisé de constater comment d'une contrainte écologique particulière (au sens propre du terme) il est logique d'arriver à un projet systémique où l'union des entités mène à une entité de l'union. Plus simplement dit, beaucoup de peu assemblés font un grand tout.

 

 

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16 juin 2017 5 16 /06 /juin /2017 13:36

Table des matières des articles parus

 

 

 

 

 

Chapitre 0: 3 mars 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 2: 14 juin 2017

Chapitre 2: 15 juin 2017

Chapitre 3: 16 juin 2017

Chapitre 4: 4 mars 2017

Chapitre 6: 17 février 2017

Chapitre 7: 5 février 2017

Chapitre 9: 21 février 2017

Chapitre 9: 9 mars 2017

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15 juin 2017 4 15 /06 /juin /2017 08:21
Articles parus dans Ouest-France des 26 novembre 2016 et 11 mars 2017
Articles parus dans Ouest-France des 26 novembre 2016 et 11 mars 2017

Articles parus dans Ouest-France des 26 novembre 2016 et 11 mars 2017

XXIème siècle ou XIXème siècle?

 

Il est temps que le cadre de travail et le cadre de vie dans la pêche deviennent équivalents à ce que rencontrent "les travailleurs terriens". Et quelque soit l'endroit! Aussi bien en France qu'en Argentine en passant par le Maroc et l'Afrique du Sud! Seuls dix états ont ratifié la convention de 2007 sur les conditions de travail dans le monde de la mer. Cela n'est pas suffisant mais c'est un début.

 

Cadre de travail... Encore de nos jours peut-on voir des marins ou des marins-pêcheurs travailler sans casque, sans gants de protections, sans lunettes de protections, alors que les agressions sont les mêmes quelque soient les travailleurs! La sécurité doit l'emporter sur la rentabilité. Prudence vaut mieux que vitesse!

 

Cadre de vie... Il est normal que même dans le huit-clos d'un navire chacun ou chacune ait droit à un hébergement personnel et décent pour s'y détendre ou s'y reposer. Il est passé le temps où c'est la "même couche" qui servait à tour de rôle à tous. Mais est-ce si loin?

 

La réaction des armateurs ne va pas se faire attendre. Minimalisation du personnel ou intégration de marins originaires d'états n'ayant pas ratifiés la convention de 2007, automatisation des installations, pire dématérialisation des donneurs d'ordre et présence de bateaux-drones... Mais nous n'en sommes pas là? Mais il faut être vigilant et pugnace afin d'imposer dans les plus brefs délais à tous les états cette normalisation des conditions de travail en milieu marin.

 

Christiane Migot

PRG29 

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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 14:20
Articles parus dans Ouest-France des 21 mars et 29 avril 2017
Articles parus dans Ouest-France des 21 mars et 29 avril 2017

Articles parus dans Ouest-France des 21 mars et 29 avril 2017

La mer fait l'homme

 

Quel titre sentencieux! Et on pourrait y rajouter... et l'homme fait la mer. Comme quoi la mer est à la fois matrice et fruit de l'homme. Si l'homme veut une mer à son image originelle c'est que cette dernière doit lancer un appel vers l'homme qui plus tard la protégera des agressions de ces contemporains. Appel réel dans la mesure où l'outil est présent ou virtuel si tout est à créer. Ce qui est né du passé n'est pas forcément présent dans le présent mais doit être dans le futur plutôt proche.

 

Quid des formations dans le domaine maritime? Cela demeure dans la tête de nos jeunes une inconnue, souvent peu attractive, car basée sur des clichés passéistes. L'appel de la mer est plus du ressort de nos écrivains romantiques et la réalité est souvent loin de ces images d'Epinal. Bien sur il y a encore des améliorations à apporter aux niveau social ou sécuritaire,  mais déjà de grands pas ont été franchis.

 

Il est du devoir des politiques de protéger les formations existantes et de les réactualiser, de lancer des formations correspondants réellement à une demande et de penser à des formations dont l'issue peut s'imposer dans les années à venir.

 

 

Christiane Migot

PRG29

 

Table des matières des articles parus:

Chapitre 0: 3 mars 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 2: 14 juin 2017

Chapitre 4: 4 mars 2017

Chapitre 6: 17 février 2017

Chapitre 7: 5 février 2017

Chapitre 9: 21 février 2017

Chapitre 9: 9 mars 2017

 

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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 13:22
Articles parus dans Ouest-France des 3 mars et 9 mai 2017
Articles parus dans Ouest-France des 3 mars et 9 mai 2017
Articles parus dans Ouest-France des 3 mars et 9 mai 2017

Articles parus dans Ouest-France des 3 mars et 9 mai 2017

L'Europe: les faux amis!

 

Et voilà à nos portes, la rivalité s'organise. Nos proches voisins, espagnols et anglais, voient d'un mauvais oeil la dynamique retrouvée de la pêche française. Sans vouloir faire de la mauvaise délation, les coups bas, qu'ils soient protectionnistes ou irréguliers, fusent.

 

L'Europe se doit de faire appliquer une réglementation commune et un comportement exemplaire à tous ses membres afin de faire en sorte que chacun trouve l'opportunité de travailler correctement.Depuis 2014, son commissaire européen  aux affaires maritimes et à la pêche le maltais Karmenu Vella est "aux manettes" et il est temps que sa politique se révèle efficace et globale sans chercher à favoriser plus l'un que l'autre et à clamer son énergie à défendre les océans et les mers, les ressources et les hommes qui la travaillent. Action de cette commission "Juncker" pour le moment bien transparente!

 

Christiane Migot

PRG29

 

Table des matières des articles parus:

Chapitre 0: 3 mars 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 2: 14 juin 2017

Chapitre 4: 4 mars 2017

Chapitre 6: 17 février 2017

Chapitre 7: 5 février 2017

Chapitre 9: 21 février 2017

Chapitre 9: 9 mars 2017

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14 juin 2017 3 14 /06 /juin /2017 08:48
Article parus dans Ouest-France des 4 décembre 2016 et 17, 23 et 27 mai 2017
Article parus dans Ouest-France des 4 décembre 2016 et 17, 23 et 27 mai 2017
Article parus dans Ouest-France des 4 décembre 2016 et 17, 23 et 27 mai 2017
Article parus dans Ouest-France des 4 décembre 2016 et 17, 23 et 27 mai 2017

Article parus dans Ouest-France des 4 décembre 2016 et 17, 23 et 27 mai 2017

La pêche et les hommes

une économie variée mais méconnue

 

Voila qui est rassurant pour l'économie de la pêche. La préférence du poisson sauvage au poisson d'élevage s'explique d'une part par une recherche d'une nourriture saine (malgré la pollution inhérente à nos océans) mais aussi d'autre part par un refus à cette autre pollution issue de toutes ces fermes aquacoles, rejetant des déchets organiques en saturation dans l'eau de mer mais aussi freinant ou bloquant les écosystèmes locaux.

 

Aussi la reconnaissance de ce secteur d'activités au niveau politique est une marque de reconnaissance de la pêche et de nos pêcheurs mais aussi un garant de vigilance et de protection face une mondialisation indisciplinée, peu regardante sur les ressources et l'environnement et peu soucieuse de la sécurité et du bien-être social des hommes. En effet des garde-fous ont été promulgués par le Parlement Européen de protéger non seulement la ressource mais aussi le socle sur laquelle elle se développe. A titre de comparaison que deviendrions-nous si la terre devenait stérile? La tempérance, une des quatre vertus cardinales, s'impose au niveau mondiale car s'il n'y a pas frein il y a disparition. L'édition de règles et de lois trop souvent au niveau local mais non mondial en constitue une amorce.

 

Enfin notons que la pêche retourne dans le giron du ministère de l'agriculture dont le ministre n'est autre que Jacques Mézard, sénateur PRG.

 

Christiane Migot

PRG29

 

Table des matières des articles parus:

Chapitre 0: 3 mars 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 2: 14 juin 2017

Chapitre 4: 4 mars 2017

Chapitre 6: 17 février 2017

Chapitre 7: 5 février 2017

Chapitre 9: 21 février 2017

Chapitre 9: 9 mars 2017

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9 mars 2017 4 09 /03 /mars /2017 15:10
Article paru dans Ouest-France du 8 mars 2017

Article paru dans Ouest-France du 8 mars 2017

Souvenir, souvenir...

1967

 

Il a fallu ce coup de canon pour que nos dirigeants de l'époque et à venir prennent conscience de l'usage abusif de nos océans et aussi de l'irrespect face à ce monde fait d'eau salée. Et encore avec des pincettes!

Le principe fondamental dominant de ces décennies prospères était l'utilisation sans limite de ces immensités qui étaient la propriété de "personne" dans la mesure où la surveillance était inexistante. Et c'étaient les portes ouvertes à tous les outrages au monde aquatique. Rejets de déchets de toute nature, Dégazages en toute liberté, Coulages de navires encombrants avec ou sans chargements encombrants et dangereux... Pratiques récurrentes depuis plus d'un demi-siècle.

 

"Cela ne se voit pas, donc cela n'est pas gênant" tel était l'adage de l'avant 1967

Imaginons que comme dans une baignoire nous puissions vider nos océans, ou ne serait-ce qu'un microcosme marin, quelle serait notre surprise de voir tout ce qui a pu s'accumuler sur plus d'un siècle? Il n' y a qu'à observer le pitoyable spectacle de nos fonds de fleuves, de rivières, de lacs ou d'autres étendues pour imaginer ce que sont nos fonds marins!

 

Positivons...

Certes les abus se sont freinés suite aux observations satellitaires, militaires et autres mais qui nous dit que dans certaines contrées, peu soucieuses de la qualité de leur environnement comme d'ailleurs de leurs populations, cela ne continue pas ou sous des apparences trompeuses, enveloppées de bons sentiments.

 

Mondialisons...

Pour une fois, ce n'est pas coutume, une vision et une action préventive comme dissuasive s'impose. Aussi l'Organisation des Nations Unies, dont l'efficacité et l'utilité est souvent mis en cause, ne pourrait-elle pas prendre en charge et éradiquer ce drame qui frappe nos océans et mers en surface comme en profondeur...

 

Christiane Migot

PRG29

 

 

Table des matières des articles parus:

Chapitre 0: 3 mars 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 2: 14 juin 2017

Chapitre 4: 4 mars 2017

Chapitre 6: 17 février 2017

Chapitre 7: 5 février 2017

Chapitre 9: 21 février 2017

Chapitre 9: 9 mars 2017

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4 mars 2017 6 04 /03 /mars /2017 08:10
Article paru dans Ouest-France du 11 février 2017
Article paru dans Ouest-France du 11 février 2017
Article paru dans Ouest-France du 11 février 2017

Article paru dans Ouest-France du 11 février 2017

 

peche-pied.jpg (300×300)

 

Image rétro... Qui ne se souvient pas de ces vieilles photos jaunies où on peut se voir sur une plage avec un ciré jaune, un chapeau jaune de la même matière que le ciré, des bottes bleues avec une bordure blanche souvent trop grandes et un haveneau monumental envahi par les algues.

 

Ce moment de détente, en famille, se doit d'être conservé. Mais depuis quelques années des règles de bon comportement se sont imposées, suite à un non respect de cet environnement si fragile et si inoffensif. La quiétude de l'endroit a souvent été associée à laisser-aller, pensant que la nature allait d'elle-même reprendre ses lieux.

 

En fait crustacés, poissons, coquillages, échinodermes, céphalopodes, vers marins et autres mollusques subissent une véritable violation, surtout pendant les grandes marées, où la ruée des "pêcheurs à pied" sévit. Au prix d'un énorme gâchis, car les yeux sont souvent plus gros que le ventre. Quid parfois des dérives involontaires ou pas vers les exploitations voisines où mytiliculteurs ou ostréicultures s'évertuent à "transcender" cette faune marine de proximité dans des objectifs pas uniquement alimentaires.

 

"Il est interdit d'interdire"

 

Néanmoins la préservation de cet écosystème s'impose face aux mutilations venant du continent et aussi celles venant du large. Du continent, souvent récréatives mais aussi lucratives. Du large, par l'abondance des déchets plastiques, métalliques, organiques ou autres s'accumulant sur nos plages. Des règlements existent mais sont peu respectés. Il est du ressort des représentants des institutions territoriales que sont nos élu(e)s de pratiques une sensibilisation généralisée autant territoriale que générationnelle.

 

Et demain...

 

Demain est un autre jour... mais il se prépare. Chacun sait le bienfait dans nos assiettes de cette faune marine aussi bien sauvage qu'élevée. Et là il faut louer tous ou toutes ces passionné(e)s qui nous proposent une gamme de produits rivalisant et aussi protégeant leurs homologues du milieu sauvage. Mais tout ne se limite pas à ce domaine et multiples sont les nouvelles applications telles pharmaceutiques (antiviral, anticoagulant, antidouleur et autres) ou industriels (plastiques naturels, hydrocarbures, gélifiants...). Il reste beaucoup à faire et surtout à trouver. Et une dynamique dans des nouvelles filières de recherches, dans des nouvelles formations professionnelles, dans des nouveaux métiers, qui aujourd'hui n'existent pas ou sont à l'état embryonnaire, est déjà à mettre en projet et même mieux en place!

 

Christiane Migot

PRG29

 

 

Table des matières des articles parus:

Chapitre 0: 3 mars 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 1: 14 juin 2017

Chapitre 2: 14 juin 2017

Chapitre 4: 4 mars 2017

Chapitre 6: 17 février 2017

Chapitre 7: 5 février 2017

Chapitre 9: 21 février 2017

Chapitre 9: 9 mars 2017

 

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