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  • : Bienvenue sur les archives des Radicaux de Gauche en Finistère.
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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 07:52

 

Ceux qui font le monde d’après :

 

Loïc Le Borgne, maraîcher bio.

 

 Publié dans la revue POLITIS  mardi 7 octobre 2014, par Le Yéti. UN témoignage éclairant qu'une autre vision du monde agricole est effectivement possible, qu'elle n'entraîne pas forcément la paupérisation du paysan et qu'on peut se sortir de l'impasse de la FNSEA inféodée à l'industrie de la mort chimique (combien de paysans meurt du cancer du fait des produits inhalés) qui tue la terre. Un témoignage qui rejoint celui de Benoît Biteau en Charente Maritime. Oui on en vit de cette agriculture et on crée des emplois. Le Ministre Le Foll devrait évolué, il servirait à quelques choses.

 

Sans attendre que les solutions viennent d’en haut, certains travaillent déjà, à leur façon, à l’édification du monde d’après. Loïc Le Borgne, maraîcher bio de la première heure, est de ceux-là.

Loïc Le Borgne
Loïc Le Borgne

Loïc Le Borgne - J’ai 46 ans. Depuis tout jeune, bien que mes parents ne soient pas du milieu, j’ai toujours su que je deviendrai agriculteur. À 16 ans, j’ai suivi la filière professionnelle qui m’a mené au BTA (Brevet de technicien agricole). Parmi mes profs, Pierre Rabhi. J’ai suivi des stages aux quatre coins de la France. J’ai été définitivement convaincu au bio après un stage à Séné chez un pionnier de l’époque, Gérard Caillosse.

La philosophie de vie

 

La ferme d'Ozon

GAEC (Groupement agricole d’exploitation en commun) situé sur la commune de Séné, en bordure du Golfe du Morbihan. Label bio. 4 ha de cultures.

Activité principale : fruits et légumes.

Autres produits : œufs, confitures, huiles, condiments, épices.

Nombre de personnes employés à temps plein : 5.

Vers 26-27 ans, j’ai franchi le pas. J’ai créé mon entreprise(cf. encadré) sur un terrain entièrement en friche. Il y avait tout à faire. Mais j’étais déjà militant et j’en voulais. Je me suis inscrit au GAB 56 (Groupement des agriculteurs biologiques du Morbihan).

 

Pendant cinq ans, j’ai travaillé dur pour monter une structure rationnelle et efficace. Mais je gardais comme objectif une certaine philosophie de vie : parvenir à limiter ma durée de travail à sept-huit mois dans l’année pour pouvoir voyager autour du monde. Ce que j’ai fait.

Dans les années 80, le bio en était encore à ses premiers balbutiements. Nous n’étions pas nombreux et passions pour des marginaux atypiques aux yeux des collègues aux méthodes conventionnelles. Mais ils ont bientôt vu que nous produisions de la marchandise de bonne qualité, que nous vendions plutôt bien. J’ai créé le premier marché bio du Morbihan, à Séné.

Aujourd’hui, l’entreprise fait vivre cinq personnes à temps plein. Plus quelques saisonniers dans les moments forts. Nous commercialisons notre production directement, sans passer par des intermédiaires. Moitié sur les marchés, moitié dans un local bio regroupant plusieurs producteurs. Et nous parvenons à nous assurer huit semaines de vacances par an.

L'équipe de la ferme d'Ozon
L’équipe de la ferme d’Ozon
Une bio à deux vitesses

Aujourd’hui, dans le Morbihan, environ 30 % des nouvelles créations d’entreprises agricoles se font sous label bio. Et la Bretagne est la seconde région de France en matière de production bio, après Rhône-Alpes. Les deux régions les plus polluées de France par les excès du productivisme sont celles où l’on bascule le plus vers le bio !

Dans le Morbihan, beaucoup travaillent en vente directe. Mais dans le Finistère, une grosse proportion de la commercialisation passe par les coopératives agricoles et les centrales d’achat. Ce qui se dessine, c’est une bio à deux vitesses : la bio paysanne et la bio industrialisée. La bio rigoureuse défendue par la FNAB(Fédération nationale d’agriculture biologique) et celle de la Grande distribution qui cherche à faire alléger le cahier des charges du label et à délocaliser la production pour des raisons de rentabilité.

Pour l’instant, la bio paysanne tient plutôt bien le choc, surtout dans un domaine comme le maraîchage où on est sur du produit frais, difficilement délocalisable. Nous sommes beaucoup plus fragiles sur les produits de plus longue conservation, la pomme de terre, l’oignon...

Aujourd’hui, je suis raisonnablement optimiste. La bio même industrielle, c’est quand même un moindre mal par rapport à l’agriculture productiviste conventionnelle. Tous les pays européens sont de plus en plus sensibilisés à la question, souvent plus qu’en France. Les aides de l’État, mais aussi de l’Union européenne pour le bio grignotent sur la part de l’agro-alimentaire industriel, quoiqu’on pense de l’influence des lobbies, et pas seulement en faveur de la bio industrielle.

Pour bien comprendre, il faut savoir qu’on est sur du long terme. Dix ou vingt ans, en terme d’évolution d’une politique agricole, ce n’est rien ! Or cette évolution aujourd’hui me paraît positive. Les progrès depuis les années 70 ont été considérables. Il y a une prise de conscience. Ce que je constate, c’est que certains de mes collègues maraîchers conventionnels viennent parfois m’acheter mes produits à moi ou cultivent leur propre jardin en bio pour leur consommation personnelle !

C’est un combat que doivent mener les agriculteurs responsables. Mais le lecteur, qui est aussi un consommateur, doit comprendre que la bataille ne peut être gagnée qu’avec son soutien actif.

La chance des pays du Sud

Ce que je voudrais rajouter, et c’est un sujet qui me touche beaucoup, c’est que la bio conviendrait particulièrement aux pays pauvres du Sud par rapport aux climats qu’ils ont. Je connais bien l’Afrique de l’ouest où je suis intervenu plusieurs fois, au Burkina Faso notamment.

Dans des pays où il fait une moyenne de 30° Celsius avec une forte humidité — Bénin, Côte d’Ivoire, Togo, Ghana, etc. — la décomposition de la matière organique, le compost, est grandement facilitée. Parfait pour la culture des fruits, bananes, oranges, citrons, du cacao, du café...

Dans les régions subsahéliennes où il fait super sec tout au long de l’année, mais où il serait tout à fait possible de stocker et de conserver l’eau des fortes pluies estivales, on pourrait aisément, avec un peu de formation et d’organisation, faire pousser des légumes, patates, tomates, sans problème de maladies, ni, surtout pas, besoin d’engrais.

Que la consommation de légumes n’entre pas encore dans les habitudes africaines est un problème secondaire. Il y a quarante ans, les Français ne consommaient guère non plus d’aubergines ou de tomates. Le problème, c’est le manque de formation et le fait que les Occidentaux monopolisent les meilleures terres pour la culture du coton qui servira à confectionner leurs jeans, ou font pression pour que les Africains leur fournissent des haricots frais à Noël.

Moi, je trouve révoltant de voir autant de gens souffrir de la famine dans des pays si riches en possibilités agricoles, sans que personne ne réagisse sur le long terme.

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 12:21

UNE ENQUÊTE AURAIT ÉTÉ OUVERTE PAR LA DIRECTION RÉGIONALE DE LA CONCURRENCE ET DE LA CONSOMMATION DE BRETAGNE SUR UN SOUPÇON D'ENTENTE ENTRE LES TROIS GÉANTS DE L'EAU SUR LES MARCHÉS DU GRAND OUEST. 

 

Distribution d'eau : soupçons sur une entente

dans le grand ouest.

 

C'est un témoignage édifiant que la direction régionale de la concurrence et de la consommation de Bretagne a recueilli, il y a quelques semaines. Mr P., dont l'ex-compagne, Mme R., est directrice commerciale de la société Saur pour le grand ouest, a rapporté les échanges d'appels et de SMS auxquels il a assisté entre sa conjointe d'alors et ses homologues de Veolia et de Lyonnaise des eaux dans le grand ouest. Des échanges qui peuvent alimenter les soupçons sur une éventuelle entente entre les trois géants de l'eau dans cette région.  

 

Des contacts limités aux mobiles personnels

 

Mr P. raconte notamment comment, un matin de juillet 2013, sa compagne, visiblement en retard pour un rendez-vous, reçoit un SMS ; elle lui explique qu'il s'agit d'un interlocuteur de Veolia pour un échange de prix prévu ce jour-là sur un marché public. Elle ajoute qu'il s'agit de pratiques courantes et inévitables pour continuer à gagner de l'argent, qu'il faut savoir abandonner un marché pour en gagner un autre. Le 22 juillet, sur une facture téléphonique que l'Express a pu consulter, la même Mme R. échange en une demi-heure, sur son mobile personnel, une série de SMS avec ses homologues chez ses concurrents de Veolia et de Lyonnaise des Eaux.  

A l'automne de la même année, la compagne de Mr P., en arrêt maladie, reçoit plusieurs appels sur son mobile personnel de son alter ego de la Lyonnaise des eaux, qui, ne parvenant pas à la joindre, finit par la contacter sur la ligne fixe de son domicile. L'objet de son inquiétude? Le dossier de renouvellement du contrat de Guingamp, détenu par la Lyonnaise des Eaux jusqu'au 31 décembre 2014 et dont le renouvellement est en cours. Son insistance pousse Mr P. à faire changer son numéro de fixe ainsi que le numéro de mobile de sa compagne. Les contacts, raconte Mr P., n'avaient lieu que sur les mobiles personnels. "Trop risqué sur les mobiles professionnels", lui disait sa compagne. 

 

De quoi nourrir une enquête de la DGCCRF?

 

Alors que de plus en plus de villes reprennent en régie municipale la gestion de la distribution d'eau - cela a été le cas récemment, dans l'ouest, à Brest, Rennes ou encore Saint-Malo- les géants du secteur sont aux abois pour conserver les contrats de délégation qu'ils s'étaient vu attribuer. Il y a un an pourtant, Bruxelles avait classé sans suite son enquête sur le marché de l'eau en France, ouverte au début de 2012. "Pas de preuve tangible de distorsion de la libre concurrence", avait en substance conclu la Commission. Les enquêteurs de la DGCCRF trouveront-ils davantage d'éléments susceptibles d'apporter de l'eau à leur moulin ?

 

Source l'Express.fr

 

 

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31 mars 2014 1 31 /03 /mars /2014 08:05

François Cuillandre

Ensemble pour Brest tenons le cap.

 

Le Parti Radical de Gauche, engagé depuis déjà de nombreuses années au côté de François Cuillandre, se félicite de sa victoire.

Malgré une abstention importante et une opposition arrogante et opportuniste, arrogante par l’amplification négative du travail du gouvernement et opportuniste par la récupération excessive des difficultés du pays face à la crise, les brestoises et les brestois ont reconnu la qualité du travail réalisé par l’équipe de François Cuillandre durant ces quinze dernières années. Ils ont approuvé la mise en œuvre d'une nouvelle étape de l'édification de Brest dans son nouvel environnement métropolitain.

Avec la participation du Parti Radical de Gauche, Ensemble pour Brest tiendra son cap et le dépassera…

 

Christiane Migot

Le Bureau Fédéral

 

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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 17:51

François Cuillandre toujours au cap.

 

 

Lors du premier tour des élections ce dimanche 23 mars 2014,  les électeurs Brestois ont exprimé leur soutien au projet porté par  François Cuillandre et son équipe. L'opposante de la droite enfermée dans le carcan néo-libérale et conservateur n'a pas séduit. Son absence de véritable projet d'avenir pour notre ville, sa vision passéiste et cynique vis à vis des citoyens à la peine devrait conduire à l'échec de son parachutage sur Brest.

 

Le Parti Radical de Gauche engagé, depuis déjà de si nombreuses années, au côté de François Cuillandre  entend bien participer à la mise en oeuvre d'une nouvelle étape de l'édification de Brest dans son nouvel environnement métropolitain.

 

C'est l'enjeu du second tour, celui de la poursuite du développement de notre ville comme noyau  de rayonnement au bénéfice des citoyens de la ville et  de ceux de la communauté, pour la reconstruction de l'emploi, de la consolidation des solidarités.

 

Avec le Parti Radical de Gauche, dans cette liste d'UNION, ensemble, pour Brest, tenons le cap.

 

Christiane Migot

Pour les colistiers du PRG

 

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 17:22

Ensemble, pour Brest, tenons le cap.

20032014-IMG_5580.jpg

François Cuillandre en meeting au PL Sanquer de Brest le 20 mars 2014

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 16:03

Souriez vous êtes filmés.

 

Qu'est ce que La vidéosurveillance ?  Elle est parfois désignée par le sigle anglais CCTV (closed-circuit television), c'est un système de caméras et de transmission d'images, disposé dans un espace public ou privé pour le surveiller. Les images obtenues avec ce système, peuvent être traitées automatiquement et/ou visionnées puis archivées ou détruites. La surveillance a pour but de contrôler les conditions de respect de la sécurité (Exemples : une caméra pour surveiller les abords d'une piste d'aéroports, ou une bijouterie,etc), de la sûreté (lutte contre le terrorismecontrôle des queues de passagers aux aéroports par exemple) ou de l'exécution d'une procédure particulière.

Selon ses partisans, un tel système permet de prévenir la criminalité ( vols,  aggressions, etc.) et d'opérer un  contrôle social ( mouvement de foule, exemple contrôle des hooligans, etc.) jamais innocent. C'est la thèse  avancée à Brest par la droite qui a repris des thèses déjà avancées en 2008. Toutefois ses détracteurs, pas forcément des irresponsables, lui reprochent son inefficacité, son coût et son atteinte à la  vie privée (exemple avec les informations recueillies par la NSA).

 

Un doute raisonnable s'installe

 

Ainsi, le Grande-Bretagne est le pays d'Europe le plus surveillé par caméras et  Londres est réputée comme étant la ville où la vidéosurveillance (tant publique que privée) est la plus importante. À leur suite, des politiques de vidéosurveillance ont été mises en place dans plusieurs villes européennes depuis les  années 1990. Cependant, le mouvement semble s'infléchir, le rapport coût/efficacité est désormais questionné, en effet un des problèmes majeurs et la maintenance des équipements, leur peu d'efficacité dans certaines conditions. C'est aussi pour cela qu'en France les ministres de l'intérieur de droite et de gauche se hâtent lentement sur le sujet.

Plusieurs rapports, notamment aux  USA et au Royaume-Uni, esquissent un bilan critique de la vidéosurveillance. Un représentant de  New Scotland Yard à la Security Document World Conference d'avril 2008 parle ainsi de « utter fiasco » (« échec complet »), parce que les officiers de police ne sont pas assez formés, souvent ils ne veulent pas chercher les images vidéo « parce que c'est beaucoup de travail » et que trop d'équipement ne sont pas maintenus en état de fonctionnement du fait de la réduction des budgets. Enfin, parce que les premiers intéressés, les malfrats, les terroristes ont mis en place des procédures, des contre mesures en quelques sortes pour s'affranchir des risques d'être reconnus. Ainsi le doute s'installe au grand dam de l'industrie de la Sécurité/Sûreté - les équipements sont chers et les contrats peuvent être juteux ; les politiques devenus comptables évaluent le risque coût mécontentement des citoyens ; ces derniers mesurent la tendance insidieuse à la restriction des libertés individuelles .

Pour finir sourions un peu sur le sujet avec ce lien : link

 

Erwan MARIE

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 11:01

Celien-SOULES.jpg

"Pour l'avenir,

Brest doit devenir une métropole de l'Innovation"

 

Céline Soulès, secrétaire fédéral du PRG Finistère, est candidate sur la liste d'Union de la Gauche à Brest son positionnement est clair : "Le sens de mon engagement pour Brest, au sein de cette équipe, est d'accompagner, de participer à cette politique urbaine active. Elle a permis à Brest, sous le précédent mandat, de devenir une métropole moderne de l'Ouest Bretagne et elle doit aujourd'hui poursuivre cette dynamique pour permettre à Brest de continuer son ascension en tant que métropole de l'innovation et du bien vivre ensemble, dans un cadre laïque, une des valeurs essentielle du PRG."

 

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14 décembre 2013 6 14 /12 /décembre /2013 17:54

Communiqué du PRG du Finistère
 
Le Pacte d'avenir signé ce vendredi entre l'Etat et la Bretagne est le témoignage fort d'une confiance solide du gouvernement pour notre région.

Parmi toutes les mesures annoncées, les élus brestois du PRG se réjouissent tout particulièrement du transfert du siège de l’Ifremer

Cette décision est symbolique et importante pour notre ville. Avec cette implantation, mais aussi avec toutes les compétences universitaires et industrielles réunies au sein du Pôle de compétitivité mer Bretagne, sans oublier les dizaines d'entreprises regroupées au Technopôle Brest Iroise, notre agglomération est confortée légitiment dans son rôle de capitale maritime.

Mais pour que la réussite de cette implantation dans notre ville soit complète, il faudra veiller à prendre de vraies mesures d'accompagnement pour les salariés et leur famille.

 

Christiane Migot
Présidente de la fédération PRG 29
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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 09:26

L'inventaire du mois

 

à suivre ici : link

 

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 10:28

LIBRE PENSéE 29  -  Cercle Jean-Marie DéGUIGNET
30, rue Edouard Corbière 29200 BREST         librepensee29@wanadoo.fr

 

Conférence - Débat

 

Ferdinand BUISSON et la fondation de l’école laïque

 F-BUISSON.jpg

    Fondateur du premier orphelinat mixte et laïque, maître d’œuvre de l’école laïque, principal rédacteur de la loi de 1905, Ferdinand Buisson présida de nombreuses associations (Ligue des Droits de l’Homme, Ligue de l’Enseignement), participa à la création du premier parti politique républicain (le Parti Républicain, Radical et Radical-Socialiste) et fonda l’Association nationale des Libres-Penseurs de France.

 

Philosophe, éditeur actuel de Ferdinand Buisson et membre de la Libre-Pensée, Pierre-Yves Ruff retracera l’épopée de l’école laïque, qui se confond avec celle de la République.

 

Vendredi  30  mars  2012 à 20 heures
Salle des syndicats Rue de l’Harteloire BREST

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